Cuvée l'expression en soi du moi .

Publié le par David Nivet

Réflexion disponible , cuvée épuisée.

Réflexion disponible , cuvée épuisée.

Dans notre méthode culturale, l'homme se trouve habité du moi évoqué par Rudolf Steiner . Cette position fondamentale de l'homme nature, génère au sein du domaine agricole une force intérieure habitée par une impulsion intellectuelle et spirituelle, le moi humain . L'homme grandi et généreux grâce au moi, propose à une nature naturante l'exécution de ses actes mais également sa situation de conteur, de diseur, de passeur. Il inflige une position fidèle d'actes humanistes et de gestionnaire de l'ordre de vie: l'unité, l'équilibre, le bon sens, sa méthode de travail.

Son émancipation qui le différencie des autres êtres vivants, l'aide à se situer intérieurement. ainsi le moi humain qui se traduit chez le paysan par une propriété du moi, un moi approprié, intégré dans une forme progressive et réfléchie du soi même.

La possession en soi d'une oeuvre de vie paysanne a quelque chose de cartésien. Le paradoxe paysan donne une forme libre et désordonnée d'un moi, agissant par réaction des ordres donnés par le moi des animaux et des végétaux qui interfèrent et libèrent l'homme paysan de la possession en soi d'un moi anticartésien.

Confiné dans son intérieur, dans la profondeur, l'homme nature conserve un moi rayonnant qui s'exprime manuellement, il est le miroir de l'homme paysan qui reflète à l'homme le moi .

Un homme moi représenté naïvement, qui se surpasse dans l'acte humain face à la nature naturante.

Cette position de l'homme moi génère, développe une puissance intellectuelle anticartésienne qui transmet à l'homme paysan un potentiel physique cartésien, qui est l'origine en soi des applications artistiques manuelles représentées et appliquées grâce au moi.

Un moi nature initié par l'homme paysan.

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